Sophie Herrault est accélératrice d’opportunités. Elle propose des accompagnements sur mesure pour vous permettre de démultipliez les opportunités de CA potentiel et réduire les coûts cachés.

EKOS & Co : une démarche pour soulager le quotidien du dirigeant sur les aspects humains, stratégiques et organisationnels

Ce que vous allez découvrir dans cette interview :

  • Pourquoi parle-t-on d’approche holistique et humaine au service de l’entreprise ? (1’02)
  • Que recouvre cette approche holistique et humaine exactement ? (4’35)
  • Comment peut-on mettre l’approche holistique et humaine au service de notre entreprise ? (7’50)
  • Quels sont les conseils que tu donnerais pour commencer à augmenter son chiffre d’affaires et réduire ses coûts cachés ? (10’30)

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Interview de Sophie Herrault, accélératrice d’opportunités pour les dirigeants, par Jérémy Matras (www.prosperite-investissement.com). Sophie Herrault est accélératrice d’opportunités. Elle propose des accompagnements sur mesure pour vous permettre de démultipliez les opportunités de CA potentiel et réduire les coûts cachés.

Sa démarche : permettre aux dirigeants de soulager leur quotidien et de sécuriser, piloter et booster leur entreprise autrement.


Jérémy Matras : Bonjour Sophie ! Bonjour à tous ! Je suis ravi de te retrouver. Pour les personnes qui nous regardent, il faut savoir que ça fait très longtemps qu’on se connaît. On a même été à l’école ensemble ! Je suis ravi de revenir dans ma région d’origine et de te retrouver. On va en profiter pour faire plus ample connaissance, savoir ce que tu deviens et ce que tu fais exactement. Donc je sais que tu as une approche holistique par rapport aux entrepreneurs. Est-ce que tu peux te présenter et nous dire un petit peu qui tu es et ce que tu fais actuellement ?

Sophie Herrault : Bonjour ! Je suis Sophie Herrault. Je suis à une créatrice d’opportunités pour les dirigeants. À ce titre, je fais de l’accompagnement pour permettre aux dirigeants de sécuriser piloter et booster leur entreprise différemment.

1. Pourquoi parlons-nous d’approche holistique et humaine au service de l’entreprise ?

Jérémy Matras : Pourquoi tu parles justement d’approche holistique et humaine pour les dirigeants ?

1.1 Les similitudes entre le corps humain et l’entreprise

Sophie Herrault : C’est un vrai choix. Si je dois prendre un comparatif entre l’entreprise et le corps humain, ce sont les mêmes symboliques. C’est-à-dire qu’on a des organes qui ont des fonctions. Ces fonctions ont des « responsabilités ». Par exemple, le cœur c’est pour nous permettre de faire circuler le sang. Si on est sur le cerveau, c’est d’amener de la réflexion : on va parler de la gouvernance. Donc on a, un peu comme le corps, des organes, des fonctions, des responsabilités, des flux d’information. Au niveau du corps, on va retrouver des flux sanguins, les flux nerveux mais au niveau de l’entreprise on va avoir aussi la même chose : donc des flux informatiques mais aussi des flux de communication et des interactions humaines.

1.2 L’importance de considérer l’entreprise dans sa globalité

Alors après pourquoi dire « holistique » ? Holistique, ça veut dire dans sa globalité. Je reprends mon analyse avec le corps humain avec un exemple qui m’est arrivé. Un jour, j’avais mal au pied quand je marchais et je me suis retrouvée à aller consulter. Au final, le problème n’était pas le pied. Le pied me créait une douleur parce que j’avais une problématique au niveau des hanches : j’avais une hanche plus haute que l’autre et donc le pied compensait avec le genou. Et donc au final, ce n’était pas un problème sur le pied à travailler mais un problème au niveau de la hanche, donc un kiné à aller voir.

En entreprise, on a des choses un peu similaires. C’est-à-dire quand on ne regarde pas au niveau global, on peut se retrouver avec un problème de trésorerie et se dire comme il me manque de la trésorerie, je vais aller voir mon banquier pour obtenir une ligne de crédit supplémentaire. Et au final, ça pourrait se régler bien plus simplement si on relançait les clients dans le paiement de leurs factures ou si on proposait des conditions de règlement différentes avec les fournisseurs… La notion d’holistique et d’humaine est liée à tout ça. C’est-à-dire que si on prend ce comparatif corps et entreprises, alors on comprend un petit peu mieux pourquoi il faut tout prendre en considération.

1.3 Une anecdote pour comprendre la différence entre les symptômes et les causes

Si je peux m’autoriser une petite anecdote que certains connaîtront sans doute parmi vous… C’est une femme qui vient voir le médecin en disant « Docteur, quand j’appuie là (sur le bras) j’ai mal. Quand j’appuie là (sur le torse) j’ai mal. Et puis aussi quand j’appuie là (sur la tempe) j’ai mal. Qu’est-ce que j’ai ? » Et le médecin de répondre « c’est simple, vous avez le doigt cassé ! ». Et le truc c’est ça. C’est-à-dire que les symptômes quand ils apparaissent, très souvent la cause profonde, elle, se situe ailleurs ! Les symptômes ne sont là que pour révéler qu’il y a un problème mais après il faut chercher où est-ce qu’ils se trouvent…

Jérémy Matras : Moi c’est ce que je dis généralement à vous les auditeurs qui m’écoutez régulièrement ou qui lisez mes articles : c’est souvent la plupart des gens qui disent avoir des problèmes d’argent, la première chose qu’ils font en effet c’est d’aller voir leurs banquiers sans se poser la question si ça vient de leur culture ou de ce que leurs parents leur ont appris… Et à ce moment-là, ils vont essayer de combler ce manque au lieu de penser positivement et de voir quelles sources de revenus je peux mettre en plus et donc apporter des revenus complémentaires au lieu de combler le manque. Ils voient souvent les choses à l’inverse. Et ça revient exactement à ce que tu as dit.

2. Que recouvre cette approche holistique et humaine exactement ?

Jérémy Matras : Alors maintenant, ce que j’aimerais savoir, c’est que recouvre donc cette approche holistique et humaines au sein d’une entreprise ? Tu peux nous en dire plus ?

2.1 L’organisation : les différentes fonctions au sein d’une entreprise

Sophie Herrault : Dans l’entreprise, je l’évoqué tout à l’heure, il y a plusieurs organes et plusieurs fonctions. On va donc retrouver les fonctions :

  • commerciale qui a pour objectif de développer le chiffre d’affaires,
  • marketing et communication qui va être de promouvoir justement le produit ou le service,
  • production parce qu’à un moment donné, il faut effectivement produire ! Ça semble logique : soit le service soit le produit,

et les fonctions que j’appelle « supports » :

  • c’est-à-dire l’administratif, le juridique et le financier pour tout ce qui va être la gestion des flux mais autour du financier principalement.
  • on va retrouver la fonction RH pour gérer les hommes dans leur ensemble
  • et puis souvent un petit dernier que bien des dirigeants oublient il faut le dire, c’est la fonction des systèmes d’information. Aujourd’hui, on coupe l’informatique aux entreprises, elles n’ont plus d’activité ! S’il n’y a plus d’internet, plus d’informatique, s’il n’y a plus d’échanges de données avec les banques ou avec les fournisseurs, il ne se passe plus rien et l’activité s’arrête. Et aujourd’hui d’ailleurs, il y a beaucoup de menaces en termes de cybersécurité qui pèsent sur les entreprises. Donc dans le cadre de notre activité, on met beaucoup d’alertes par rapport à ça.

2.2 Le rôle de l’humain

Donc il y a déjà toutes ces fonctions auxquelles vont s’ajouter l’élément humain qui va jouer dans la diffusion de l’information : sans lui, il n’y a pas d’information. Mail il faut également le mettre en lien avec la notion motivation. C’est-à-dire : est-ce que l’humain a envie de travailler ou non ? Et de quelle manière ? Parce que certains vont être à travailler à contre-courant, c’est-à-dire qu’ils vont faire du sabotage peu importe les raisons : parce qu’ils ne s’entendent pas avec un des collaborateurs, ils ont envie de mettre l’entreprise en prud’hommes parce qu’il y a eu un conflit et ça s’est mal passé… Peu importe, il peut y avoir ce genre de choses.

2.3 La stratégie : la cohérence entre l’humain et l’organisation

Donc l’organisation, l’humain par rapport à la motivation et ce qui va faire que tout ça, ça tient la route et qu’on va arriver à lever ces fameux freins au changement, ça va être la notion de stratégie. Donc l’idée, c’est d’avoir ces trois éléments qui vont être pris ensemble et auquel on va rajouter un 360° au niveau des métiers mais il y a aussi en couches, en profondeur. C’est-à-dire que tout en haut en général le dirigeant va prendre les décisions sur la notion de stratégie, les responsables métier vont être plutôt sur la gestion de l’organisation de l’entreprise. Mais ensuite l’humain, ce sont l’ensemble des collaborateurs. Donc ça veut dire qu’en fait toutes ces strates sont importantes à prendre en considération. Le 360 & 3D, c’est ce que j’appelle « holistique et humain ».

3. Comment peut-on mettre l’approche holistique et humaine au service de notre entreprise ?

Jérémy Matras : D’accord maintenant une autre question. Comment peut-on mettre en place justement au sein de l’entreprise cette approche holistique et humaine ?

3.1 Prendre de la hauteur

Sophie Herrault : Alors il va y avoir plusieurs façons de procéder. La première, c’est la plus évidente, et ça c’est valable quelle que soit la problématique, c’est de prendre de la hauteur. Quand on est dirigeant très souvent on travaille dans son entreprise. Et l’objectif c’est de ne plus de travailler DANS son entreprise mais SUR son entreprise. Donc ça, ça va être le premier point.

3.2 Rechercher l’information pour travailler sur ses angles morts

Le deuxième point pour moi, c’est une lapalissade : on ne sait pas ce qu’on ne sait pas ! Et partant du principe qu’il y a des choses dont on n’a pas connaissance le but du jeu va être justement d’aller chercher quels sont les angles morts, rechercher de l’information justement pour pallier à tout ça : regarder ce qu’on ne sait pas et qui va peut-être expliquer nos symptômes et nos causes.

Jérémy Matras : Ça peut venir de n’importe quelle strate de la hiérarchie entre autres…

3.3 Agir différemment pour obtenir plus de performance

Sophie Herrault : Tout à fait. Après très souvent ce qu’on entend, c’est « vous devez faire plus avec moins ». Oui ça peut fonctionner mais en général, ça veut dire qu’on est dans la notion d’efficience, de performance mais ça ne marche qu’un temps. C’est-à-dire qu’à un moment donné l’efficience est au maximum et on ne peut pas descendre, on ne peut pas faire mieux que ça. Et donc l’idée ce n’est pas de faire plus avec moins. Ça va être plutôt de faire plus mais différemment en ayant un état d’esprit différent. Donc en pensant, en agissant différemment, on peut obtenir des résultats différents. Si ce n’est pas le cas, en fait on va juste obtenir des résultats et on ne peut pas espérer obtenir plus de résultats en faisant la même chose.

Jérémy Matras : Moi j’ai une expression que j’aime, c’est « si tu veux que les choses changent, change-toi toi-même ». Je pense que ça illustre tes propos.

3.4 Anticiper

Sophie Herrault : Alors après, il y a une quatrième chose, mais là c’est pareil, je sais que c’est une évidence. En tout cas je n’invente pas la roue par rapport à ça. L’idée, c’est d’anticiper. C’est-à-dire qu’avant d’arriver aux symptômes, l’objectif est de résoudre toutes les causes possibles. Et si on peut les anticiper, c’est là qu’on a le jackpot ! En médecine chinoise, ils ne font pas du curatif, ils font du préventif. Et donc pour moi, le conseil c’est ça : anticiper pour faire du préventif et non pas du curatif.

Jérémy Matras : Je partage tout à fait

4. Quels sont les conseils que tu donnerais pour commencer à augmenter son chiffre d’affaires et réduire les coûts cachés ?

Jérémy Matras : Une autre question… Quels sont les conseils que tu donnerais aux personnes qui nous écoutent, aux entrepreneurs et aux dirigeants, qui permettrait d’augmenter leur chiffre d’affaires tout en réduisant leurs coûts ?

4.1 Planifier du temps pour prendre du recul et réviser sa stratégie (si besoin)

Sophie Herrault : Alors si je repars de ce que j’ai dit tout à l’heure, on a évoqué le fait de prendre de la hauteur. Pour prendre de la hauteur, il faut planifier du temps pour ça. C’est-à-dire que tant que ça n’est pas dans l’agenda, il n’y a pas de prise de hauteur possible et on reste noyé dans son quotidien. Donc de toute façon, quel que soit l’objectif, à un moment donné il faut se poser. Et pour se poser, il faut prendre du temps dans son agenda. Prendre de la hauteur = prendre du temps. Pour moi, c’est fondamental.

Sinon, il n’y a pas de stratégie possible et même s’il y a une stratégie, de toute façon elle doit être révisée. Elle doit être révisée parce que si on reprend à nouveau l’histoire du corps humain et de l’entreprise, les deux ont des facteurs externes qui viennent les impacter. Il y a le froid qui fait qu’on tombe malade. Il y a la conjoncture, des crises sanitaires qui peuvent arriver (!) et qui font qu’à un moment donné l’entreprise peut être mise à mal. Elles peuvent fonctionner très bien mais il y a un petit truc qui vient la déranger. Et donc ne serait-ce que pour ça de toute façon, il va falloir réfléchir régulièrement à : qu’est-ce que je fais de ma stratégie, commet je la révise… Ça veut dire prendre du temps. Donc ça, c’est le premier point qui pour moi est primordial.

4.2 Faire appel à des tiers pour bénéficier d’un regard extérieur

Le deuxième, j’ai évoqué le fait qu’on ne savait pas ce qu’on ne savait pas. Mais du coup, ça veut dire aller chercher l’information. Et très souvent, c’est difficile d’être juge et parti pour soi. C’est-à-dire que on voit la paille dans l’œil des autres mais pas la poutre dans son propre œil. Et donc pour arriver à voir ce qu’il y a en nous, on a souvent besoin de faire appel à des tiers extérieurs. Donc par rapport à ça ce que je le recommande, c’est de faire appel à des spécialistes, des généralistes si vous voulez avoir une vision d’ensemble globale. Mais en tous cas, amenez un œil nouveau, un œil extérieur, parce que de toute façon, c’est l’œil nouveau qui va vous faire penser différemment aussi.

Jérémy Matras : Faire prendre conscience de certains points qu’on n’avait pas forcément vus.

4.3 S’ouvrir à de nouvelles idées

4.3.1 Interroger l’humain

Sophie Herrault : C’est ça. Et donc pour continuer sur cette idée de penser différemment il y a une mine d’or en interne au niveau de l’humain. L’humain, généralement c’est celui qui au contact avec la réalité, c’est ceux qui sont avec les clients, c’est eux qui sont au niveau de la production qui vont faire… et en fait eux, ils savent comment optimiser, ils savent avoir de nouvelles idées… Ils vont avoir plein de bonnes idées à prendre en considération et ce serait dommage de passer à côté. Moi je dis souvent qu’une bonne idée ça peut valoir un million. Et ce serait dommage de ne pas les écouter.

Jérémy Matras : Encore faut-il leur poser la question et effectuer une sorte de mastermind ou des choses dans ce genre-là ou des réunions de construction et d’échanges avec ses salariés, ses employés, ses partenaires de manière à pouvoir faire émerger des bonnes idées et les faire fructifier.

4.3.2 Exploiter la data

Sophie Herrault : Je suis complètement d’accord avec tout ça et en plus, aujourd’hui à l’ère du numérique, il y a une autre chose qui est source d’opportunités de business, c’est l’informatique et derrière l’informatique, c’est la gestion de la data. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu’on a des informations sur nos clients. Ces informations, il faut les exploiter. Un client qui n’est pas content, c’est une opportunité ! C’est une opportunité de faire évoluer notre produit. Un fournisseur qui met en place un nouveau système pour communiquer avec nous, ça devient une opportunité parce que peut-être un gain de temps… C’est d’aller chercher cette information-là auprès de l’humain parce que c’est l’humain qui a l’idée, et c’est l’humain qui sait comment on peut développer les nouvelles choses.

4.3.3 Faire de la veille

Et le dirigeant a de toute façon lui aussi un rôle à jouer par rapport à ça : c’est de faire de la veille. S’il n’y a pas de veille, de toute façon, tout ce qui va concerner les facteurs externes, il y a un moment donné où ça va lui péter au visage. On parle de la veille réglementaire mais ce n’est pas tout. On peut parler de la veille technologique…

Jérémy Matras : Environnementale, de la veille faite au niveau du produit, du service, la fiscalité… Moi dans mon domaine, je sais que c’est pratiquement que la fiscalité. On en a régulièrement et c’est vrai que s’il n’y a pas de veille fiscale, on peut tout simplement louper une optimisation financière.

Sophie Herrault : Donc l’idée, c’est ça. Alors si je dois résumer cet état d’esprit, souvent ce que font les entreprises, c’est qu’elles questionnent la data pour exploiter l’humain. En fait moi, ce que je recommande c’est de faire l’inverse : questionner l’humain pour exploiter la data.

4.4 S’appuyer sur les outils existants

Maintenant un quatrième conseil. Donc le premier, c’est de prendre du temps pour la prise de hauteur ; le deuxième faire appel à des tiers pour justement avoir un regard neuf sur ses angles morts notamment ; le troisième s’appuyer sur l’humain et la data pour avoir de nouvelles idées et des opportunités.

Le quatrième conseil : il y a des outils qui ont fait leurs preuves et à chaque fois on le dit : ça ne sert à rien de réinventer la roue. Donc on va chercher ces outils et on les utilise ! Donc il y a le SWOT pour faire l’analyse Opportunités / Menaces / Forces / Faiblesses ; il y a le Business Model Canevas (BMC) qui permet aussi de bien structurer les canaux de distribution… On va avoir le modèle de Porter, PESTEL pour tout ce qui a trait à l’environnement (quelles questions on doit se poser sur l’environnement). Il y a des outils qui existent, il faut les utiliser ! C’est la base.

4.5 Anticiper

Et si je dois donner un dernier conseil, c’est en lien avec l’histoire d’anticiper que j’évoquais tout à l’heure. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire sortir de sa zone de confort, agir, oser et ça veut dire mettre en action le changement et faire ce qu’il faut pour lever les zones de résistance. Et là, c’est tout un art. C’est pareil je vais revenir au conseil numéro deux : faites appel à des tiers si vous ne savez pas comment faire. Parce qu’il n’y a pas de miracle. On sait bien faire ce qu’on maîtrise et ce que l’on ne maîtrise pas, il faut chercher de la compétence ailleurs.

Prendre contact avec Sophie Herrault

Jérémy Matras : Merci pour tous ces conseils. Une dernière question : si les gens qui nous écoutent veulent faire appel à tes services pour auditer leur entreprise et voir comment ils peuvent mettre tous ces conseils en application, comment ils peuvent faire pour te joindre (sachant que je mettrai les liens sous la vidéo) et te contacter le plus simplement du monde ?

Sophie Herrault : Le lien le plus simple, c’est sur LinkedIn, un réseau sur lequel je suis extrêmement présente et où je réponds assez vite aux demandes de mise en relation.

Jérémy Matras : Donc ils t’appellent Sophie Herrault sur Linkedin ?

Sophie Herrault : C’est ça. Il suffit soit de faire une mise en relation, sinon il y a le numéro de téléphone qui est inscrit avec mes coordonnées également sur la fiche de contact. Et puis, il y a un site qui s’appelle ekosand.co qui ré explique un petit peu la démarche, cette démarche justement holistique et humaine avec le choix qu’on a fait avec ma partenaire associée d’intégrer des partenaires pour compléter une démarche holistique.

Quand on sait que le problème ne vient pas du pied mais de la hanche, il faut le spécialiste de la hanche. Donc de la même manière quand on a mis en évidence au travers de ce diagnostic d’où venaient les causes, c’est plus facile d’orienter vers le bon spécialiste. Et c’est ça aussi, quand on ne s’est pas amusé à ne traiter que le pied (parce qu’en général une fois qu’on a fait le pied, ça revient puisqu’on n’a pas traité la hanche) c’est ça aussi un gain de temps, un gain d’argent, d’efficacité et de sérénité puisqu’on est sûr d’avoir le bon professionnel pour la bonne cause.

Jérémy Matras : Super ! Merci beaucoup en tout cas Sophie. Voilà pour ce partage pour cette interview.

Sophie Herrault : C’était un plaisir.

Jérémy Matras : De même, partagé ! C’était vraiment un plaisir de se retrouver dans ce cadre magnifique. Je vous remercie tous et je vous dis donc à très bientôt dans une prochaine vidéo.

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Avec l’aimable autorisation de Jérémy Matras pour la diffusion de cette interview sur mon blog. Pour en savoir plus sur Jérémy Matras :